Articles Tagués ‘pétrole’

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Lettre aux candidats à la présidentielle et leurs réponses

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Le pétrole flambe, le gaz de schiste attend

C’est sous ce titre que Le Monde daté du 29 février 2012 publie l’Edito hebdomadaire de l’économiste Martin Wolf. Monsieur Wolf commentateur économique en chef du Financial Times est un habitué du forum économique mondial de Davos.  L’édito a le doux bruit de l’installation d’une plateforme de forage dans la paisible campagne française.  C’est court et sans ambigüité, 484 mots pour nous dire que les français sont des imbéciles puisque face à la pénurie annoncée du pétrole et à l’augmentation des coûts des hydrocarbures ils renoncent à exploiter les fabuleuses réserves de gaz de schiste prisonnières du sous-sol. Comme c’est le cas dans bien des articles de la presse financière, le contexte géopolitique tendu prêtant les arguments à leurs auteurs, on agite la peur puisque le «  nationalisme pétrolier reste vigoureux de la Russie au Venezuela, en passant par les États du golfe Arabo-Persique ».

Au passage prêtant main forte à TOTAL dont le permis a récemment été abrogé l’économiste britannique se veut rassurant en susurrant que «l’État a les moyens, techniques et juridiques, d’en encadrer strictement la production ». Pour finir repenser le mix énergétique doit se faire « sans tabou ». Fermez le ban !

Gaz de schiste : Les coûts d’opportunité locaux de l’eau en question *

Et pourtant sur les territoires, à quelques encablures de Davos, « le peuple » certainement ignorant puisqu’il n’a pas le regard rivé sur les prévisions boursières s’oppose farouchement à cette exploitation. Les paysans sont inquiets lorsqu’ils constatent que d’immenses quantités d’eau sont nécessaires à l’exploitation de ces « ressources ». L’installation de plateformes de forage au beau milieu de terres agricoles dont les surfaces sont en diminution face à l’urbanisation n’est pas non plus jugée bienvenue. Le monde paysan dont les candidats à l’élection présidentielle tentent de s’arracher les suffrages est celui qui nous nourrit et l’AOC gaz de schiste n’a pas l’air d’enthousiasmer les foules.

(*) Le coût d’opportunité désigne la perte des biens auxquels on renonce lorsqu’on procède à un choix, autrement dit lorsqu’on affecte les ressources disponibles à un usage donné au détriment d’autres choix.

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Haute Savoie: Grande mobilisation à Saint Julien en Genevois le 11 février

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Confusion voulue ou emmêlement de pinceaux…

… une chatte n’y retrouverait pas son chaton. Les publications des « Mines » sur les permis et demandes de permis de recherche d’hydrocarbures liquides ou gazeux, « conventionnels » ou « non conventionnels » sont pour le moins confuses.  A ce titre le rapport provisoire sur Les hydrocarbures de roche-mère en France établi au printemps dernier par les Conseil général de l’industrie l’énergie et des technologies et du développement durable (CGIET) et Conseil de général de l’environnement (CGEDD) vaut son pesant de boue de forage. Nous allons y revenir. Ce soir au Sénat la Ministre de l’Ecologie par la voie du Ministre des Transports affirmait qu’il n’existe pas de permis « conventionnels » ou « non conventionnels » mais simplement des « permis de recherche ou d’exploitation d’hydrocarbures liquides ou gazeux ».  Et d’ajouter que l’ensemble des permis « visant la roche mère » avaient été abrogés. Dont acte. Enfin presque. . .

Arrêtons-nous quelques instants sur ces curiosités langagières.

Elles démontrent une bien curieuse manière de dissimuler la vérité. Rappelons également que le CGIET donne son avis avant l’attribution des permis exclusifs de recherche lesquels sont ensuite accordés par simple arrêté ministériel sans enquête publique, et publiés au Journal Officiel de la République Française. Ce CGIET est le conseiller du ministre en matière minière.

Pourtant nos grands commis dont la responsabilité est immense semblent faire preuve de légèreté quant au traitement de l’information.  Comment voulez-vous qu’un Préfet ne soit pas légèrement tendu lorsqu’il tente de faire de la pédagogie alors que les grands corps de l’Etat se prennent les pieds dans le tapis.

Mais de quoi s’agit-il ?

Patience cher lecteur et sache qu’en lisant ceci tu verras à nouveau qu’on te trompe énormément –mais tu le savais déjà – et que les permis en demande dans ta région visent bien des hydrocarbures de roche mère et ça tu le savais aussi.

Le lapsus révélateur de l’Annexe III

Ce fameux rapport commandé par les Ministres de l’écologie (MEDDTL) et de l’Energie dans sa version officielle publiée à la Documentation Française indique en son annexe III que 46 permis ont été accordés pour de l’exploration non conventionnelle (NC) visant de l’huile ou du gaz « de roche mère » . Force est de constater que les citoyens et élus n’ont pas tort de s’inquiéter. Si nous avons compris que ces permis n’étaient pas encore officiellement accordés puisque qu’il nous est dit que leur instruction est en cours –et que les décrets n’ont pas été publiés – nous ne pouvons que comprendre que : (1) L’administration en charge traite l’information avec une légèreté pour le moins surprenante , (2) par cette information elle révèle certainement ses intentions, (3) les demandes de PER – comme le laissent également transparaître les dossiers fournis par les pétitionnaires dans le cadre de leur demande ou dans les rapports remis en octobre 2011 en vertu de l’application de la loi sur la fracturation hydraulique – visent bien des réservoirs non conventionnels.

Madame la Ministre, monsieur le Ministre, il serait temps de nous dire la vérité !
Nous serons nombreux à Saint Julien en Genevois ce samedi 11 février pour réclamer:

• l’abrogation de tous les permis accordés en France.
• l’interdiction définitive de l’exploration et l’exploitation de tous les hydrocarbures de roche mère.
• la refonte du Code minier
• l’abandon des programmes de recherche et d’exploitation des énergies fossiles en faveur de la recherche et du développement des énergies renouvelables.
• l’organisation d’un débat public et participatif sur l’avenir énergétique de la France.

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Haute Savoie: Grande mobilisation à Saint Julien en Genevois le 11 février

Dans le cadre d’une interview accordée au journal Le Progrès et publiée ce jour, M. Neil McNaughton consultant pour la société Celtique énergie tente de décrédibiliser l’action des citoyens et élus membres du collectif Collectif Haut-Bugey non aux forages d’hydrocarbures.

Rappelons que cette société britannique est titulaire d’un permis exclusif de recherche d’hydrocarbures liquide ou gazeux accordé par l’administration en 2008 sans que la population ni les élus locaux n’aient été consultés. C’est une  des raisons -ce n’est pas la seule- de la mobilisation citoyenne. Ce permis intitulé Permis des Moussières accorde la possibilité au titulaire d’effectuer des recherches dans une zone couvrant les départements du Jura et de l’Ain. Celtique envisage de reprendre les recherches déjà effectuées par Esso Rep il y a plus de deux décennies sur le plateau d’Hauteville et précisément sur les communes de Lantenay et de Corcelles. Sur place « La Chandelière 1 » et « la Chandelière 2″ on s’en souvient. Après des forages exploratoires, les pétroliers avaient rebouché: trop cher! On passe trop souvent sous silence le fait qu’un des forages avait entrainé la pollution d’une source et son inutilisation définitive forçant la communauté à raccorder les usagers de la commune au réseau de distribution de l' »eau du Rhône ».

Le consultant de Celtique prétend que le collectif du Haut-Bugey fait de la désinformation en assimilant les projets envisagés par la Société Celtique à la recherche de gaz de schiste. Or il n’en est rien. Habitants et élus savent lire les quelques rares dossiers qu’il a été difficile d’obtenir. Ils savent que le titulaire du permis envisage de faire un forage oblique en grande profondeur pour explorer la disponibilité d’hydrocarbure dans la roche cible (grés de Bunt). Il savent également que les forages nécessitent de grandes ressources en eau. Ils savent que le titulaire du permis envisage de « sous traiter » le retraitement des boues de forage sans donner aucune indication sur les modalités envisagées. Ils savent que la collectivité aura à prendre en charge l’entretien des routes après le passage de nombreux camions si une telle entreprise est effectivement mise en œuvre. Ils savent que l’évacuation d’hydrocarbures nécessite de gros chantiers qui auront un impact durable sur l’environnement et le paysage. Ils ont la mémoire de la source qui a été polluée et rendue définitivement inutilisable.

Les pétroliers parlent de « création d’emploi » et de « recettes pour les collectivités locales ».  Ils ne veulent qu’acheter le silence et profiter de la fragilité financière des collectivités pour les attirer dans un piège aux conséquences durables. Le code minier, la réglementation française sont ainsi faits que le titulaire d’un permis lorsqu’il se retire n’aura pas à supporter les conséquences des possibles accidents et pollutions sur l’environnement. Et ces conséquences ne sont pas toujours mesurables lors de l’exploitation mais bien des années après.

La recherche de solutions énergétiques dans la durée ne consiste pas à pomper les maigres réserves du sous-sol. Les investissements pour la recherche en matière d’énergie doivent être dirigés vers des solutions durables et renouvelables.

Le gouvernement, les pétroliers veulent nous enfermer dans l' »histoire des gaz de schiste« . Ils se veulent rassurant en rappelant que la fracturation hydraulique est interdite en France et que « les permis » ont été abrogés. Seuls trois permis l’ont été. Une commission de suivi de la mise en œuvre de la loi qui permet la recherche sur la fracturation hydraulique doit être nommée dans les jours qui viennent.  Le mouvement d’opposition citoyenne qui a émergé sur de nombreux territoires depuis un an est vivant en hiver comme au printemps.

C’est pourquoi nous serons nombreux à Saint-Julien en Genevois le 11 février pour dire « non au gaz de schiste« , « non au pétrole de schiste« , « non aux forages d’hydrocarbures » , « non à l’exploitation de nos ressources en eau de manière inconsidérée« !

Sélection dans la presse, notamment ce qu’en disent les industriels                   ( ! ) Info minute ici




Abrogation de 3 permis, c'est insuffisant! (lire ici)                                              ( ! ) Info minute ici 
La Société Celtique Petroleum sur le point de signer une convention d’occupation de  terrain à Lantenay
[Correspondance Haut-Bugey] Voici le site convoité par la société Celtique Energie  sur la commune de Lantenay pour le forage de recherche pétrolière
Le lieu dit, La Rippe se situe à environ 1 km au dessus du village.Tout près du site de Chaleyriat où Esso Rep avait conduit en 1989 son premier forage de prospection, en provoquant la pollution définitive de la source de la Moullaz , située pourtant à 2 km (commune d’Outriaz) !* Absence d’état initial réclamé à qui que ce soit sur la qualité de l’eau actuelle , le débit des sources……
* Une proposition financière a été faite à la commune par Celtique Energie* * Une convention d’occupation des terrains communaux est sur le point d’être signée.

Le choix du site de Lantenay est bien étonnant quand on sait que le résultat du forage d’exploration d’Esso en 89 stipulait comme résultat : « arrivée d’eau, avec traces d’huile, sans pression »

Celtique Energie titulaire du permis des Moussières assure que  la technique de fracturation ne sera pas utilisée pour cette recherche sur Lantenay:  Il serait étonnant que le contraire soit affirmé après la publication de la loi du 13 Juillet. OUI MAIS : QU’EN SERA-T-IL ?

* Des conséquences de ce premier forage sur le réseau hydraulique souterrain (risque de perte ou de pollution des sources, des nappes phréatiques ?)
* Des conséquences sur le cadre de vie des habitants ? (pollution visuelle, auditive, olfactive dues à la présence d’un site pétrolier à deux pas des habitations ; création d’un pipe-line pour évacuer la production vers la route départementale, ou de bassins de stockage à ciel ouvert ? Circulation de camions ?)
* Celtic ne dit rien de l’exploitation qui s’ensuivra : quel type de forage ? s’agira-t-il toujours de conventionnel ?

EST-ON PRÊT A REJOUER L’ÉCHEC DE 1989 ET SES CONSÉQUENCES ÉCOLOGIQUES DRAMATIQUES ?

PARTICIPONS TOUS A UNE MARCHE CITOYENNE A LANTENAY POUR MONTRER NOTRE OPPOSITION
DIMANCHE 9 OCTOBRE 2011 A 11 HEURES ! MUNISSEZ VOUS D’UN MORCEAU D’ÉTOFFE BLEU CIEL
(ce morceau d’étoffe porté par chaque participant symbolisant la couleur de l’eau que le Collectif tient à préserver pour tous et pour les générations futures !)
 
Merci de diffuser autour de vous, à vos contacts : à bientôt à Lantenay !
 

( ! ) Info minute ici                                                 * *  RETRAIT IMMÉDIAT DES PERMIS: PÉTITION * *

La constitution du Collectif Citoyen Haut Bugey Non aux Forage d’hydrocarbures résulte de l’inquiétude et de la détermination d’habitants et élus du plateau d’Hauteville face à un projet d’exploration de pétrole autorisé par l’administration en 2008.

Le permis de recherche minier d’hydrocarbures délivré à la compagnie Celtique Energie Petroleum n’est pas récent, il est également la suite d’un projet de recherche pétrolière entamée dans les années 1990 par Exxon Esso Rep.

Foncier et déclaration de travaux :
Le titulaire actuel du permis de recherche minier a déjà entrepris des démarches auprès de plusieurs communes du plateau d’Hauteville. Disposant de données géologiques très précises issues des recherches, sondages et forages effectués à la fin des années 1980, Celtique Energie Petroleum a localisé deux terrains (l’un privé, l’autre communal) sur lesquels souhaite entreprendre des forages exploratoires. A ce jour face à la résistance des habitants et élus locaux, aucun bail ni autorisation n’ont été délivrés. LA DREAL de Lyon confirme avoir été approchée par le titulaire du permis sans toutefois que celui-ci n’ait encore fait de déclaration de travaux.

Forage :
Selon les documents consultés, le titulaire souhaite atteindre la roche cible située au dessous du karst en grande profondeur (-2550 m) par un forage vertical puis horizontal afin d’atteindre la roche réservoir (grès de Bunt) pour en extraire le pétrole.

Eau :
Le titulaire indique vouloir se connecter au réseau d’eau communal pour effectuer le forage lequel nécessiterait environ 1 250 000 litres d’eau.

Transport :
Le transport de matériel de forage nécessiterait le passage de 10 voitures privées et 20 camions de 38 T par jour pendant 3 jours.
Pendant l’activité de forage estimée à environ 36 jours toujours selon les indications du titulaire du permis de recherche, une moyenne journalière de 10 à 15 véhicules privés et de 3 camions 38T passeraient sur la commune. Il n’est pas indiqué quelle serait cette moyenne si l’eau nécessaire au forage provenait de l’extérieur de la commune.

Élimination des déchets solides et liquides :
Ce point reste peu détaillé : Le titulaire indique la nécessité d’éliminer 280m3 de déchets solides et 680 000 litres (donc la moitié reste dans le sous sol) liquides. L’évacuation pourrait être opérée par camion. Le traitement serait effectué par un sous traitant non encore identifié.

 Peu à peu la presse et les média s’emparent de la question.

Les collectifs Rhône-Alpins restent particulièrement vigilants et s’opposent à un tel projet. Ils interpellent l’ensemble des élus locaux et régionaux afin que toute l’information relative à ce projet soit rendue publique.

Pétition Non à l’extraction de pétrole proche de nos habitations

Cyber action: Mr Fillon: retrait immédiat de tous les permis d’extraction des hydrocarbures de roche mère !

Lire aussi ( ! ) Info minute ici

La défense des industriels est assurée, les contribuables vont-ils payer?

Dans une tribune publiée dans « Usine nouvelle » aujourd’hui 28 Avril,  David Desforges avocat chez  Jones Day conclut son article en ces termes : « L’application du principe de précaution appelle pour les mesures qu’il cautionne un bilan global. Sans bilan, la mesure peut être politiquement expédiente mais aussi juridiquement contestable.

La Constitution, selon l’article 61-1, permet en effet désormais de soutenir qu’une disposition législative porte atteinte aux droits et libertés que la Constitution garantit. Entreprendre une activité minière ne relève pas de la liberté de l’industrie et du commerce. Cela est acquis.

Mais, ayant accepté de bonnes grâces le moratoire de février dernier et interrompu leurs forages, les détenteurs de ces titres miniers pourraient maintenant être tentés d’explorer un nouveau gisement. Juridique et indemnitaire »

Anciennement associé du cabinet Gide Loyrette Nouel en charge de l’équipe environnement, David Desforges conseille et défend des industriels français et internationaux dans ce domaine depuis plus de 15 ans. Il dispose ainsi d’une expertise importante reconnue tant au niveau national qu’international. A ce titre, il est notamment intervenu pour des clients tels que Air Liquide, Amazon, EADS, Diversey, DuPont de Nemours, First Solar, Johnson Controls et W.R. Grace.
Son expertise porte plus particulièrement sur les problématiques liées aux impacts environnementaux des activités industrielles, à la gestion et au transfert des sites pollués, à la performance environnementale des produits, aux énergies renouvelables et aux aspects réglementaires des activités industrielles et minières. source Jones Day

Ici l’article paru dans Usine Nouvelle

* * On en parle dans la rue samedi à LYON et convergeons à BLYES (01) dimanche à midi

* Gaz de schiste, on en parle dans la rue à Lyon le  samedi 16 Avril 2011:

Tract à télécharger ici: Attention ne pas jeter sur la voie publique

* * Mobilisation dimanche 17 avril 2011, convergence vers BLYES pour un pique nique près de la mairie à partir de 12h00

Caravane Stop au Gaz de Schiste dans l’Ain et partout ailleurs

–> Départ: Point de rencontre dès 9h30 sur le parking  de l »‘Intermarché » de Meximieux.

Merci à l’avance de respecter les indications fournies par le PDG d’Intermarché Meximieux: « Le magasin est ouvert le dimanche matin et est trop petit pour acceuillir à la fois les participants et les clients.
Lorsque vous serez sur le parking Intermarché, faites en sorte de garer les véhicules en haut du parking BRICOMARCHE, après la station-service sur le même site. Bonne manifestation et merci! »

Points de rencontre suivants: > Charnoz  > Saint Jean de Niost > Saint Maurice de Gourdans

voir carte ici

–> Arrivée à BLYES et pique nique à partir de 12h00

> Sur place rencontre et information

> Séance d’information publique et projection documentaire (au prieuré)

Si le Collectif stop gaz de schiste 69 se félicite de la récente avancée du gouvernement, il attend avec impatience l’abrogation de la totalité des permis signés dans le Sud de la France et l’abandon de permis en attente.

Le weekend des 16 et 17 avril sera l’occasion de maintenir notre mobilisation et de manifester notre refus de l’exploration de gaz de schiste.

Communiqué de presse à télécharger ici

Progrès de l’AIN 16.04.2011 (à télécharger ici)

Le Collectif stop gaz de schiste 69 rappèle qu’il est indépendant politiquement et se réjouit de la mobilisation de tout un chacun, citoyens et organisations  sur la question de l’exploitation des ressources énergétiques d’origine fossile.