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(!) Info minute – Revue de Presse

L’ECHO DES FORAGES

Bulletin de liaison du Collectif Non au gaz de schiste – Pays de Savoie et de l’Ainle gaz de schiste ce n'est pas fini

Une mobilisation réussie
  • Suite à la décision du Tribunal Administratif de redonner à TOTAL le permis de Montélimar, annulé par l’État suite à la loi du 13 Juillet 2011, et qui s’étend sur 5 départements (Ardèche, Drome, Gard, Vaucluse et Hérault), les collectifs français ont organisé un grand rassemblement le 28 février à Barjac dans le Gard. Plus de 15 000 personnes (dont 80 dans 2 bus organisés par notre collectif NGDS PSA) ont répondu à l’appel.

  • L’objectif était d’exiger :

    que le permis de Montélimar soit définitivement abrogé.

    que pour la trentaine d’autres permis arrivés à échéance (dont Gex), aucune demande de renouvellement ou de prolongation exceptionnelle ne soit accordée.

    que les 133 demandes de permis en cours d’instruction sur le territoire français ( dont Gex Sud, Abondance, Blyes, Préalpes) soient définitivement rejetées.

    que les positions prises par la ministre de l’écologie, de ne plus délivrer d’autorisation de recherches d’hydrocarbures même conventionnels soient mises en œuvre immédiatement.

    que le gouvernement, sur proposition du Parlement, prépare une loi interdisant toute exploration ou exploitation d’hydrocarbures non conventionnels, ainsi qu’il s’y était engagé pendant la campagne électorale de 2012.

    que les accords de libre-échange TAFTA et CETA, qui donneraient les mains libres aux pétroliers états-uniens ou canadiens, ne soient pas signés par nos gouvernants.

Pour quels résultats ?
  • Le PDG de TOTAL a déclaré1  » à 30 dollars le baril de pétrole, j’ai autre chose à faire que de chercher du gaz de schiste dans des endroits où l’on ne veut pas de nous ». D’autant plus que toujours selon lui, il n’est « pas sûr qu’il existe du gaz de schiste dans cette région. » Il n’a toutefois pas renoncé officiellement à ce permis, ni dit ce qu’il ferait si le baril de pétrole remontait à 100 dollars !

  • Le vœu intitulé « La Région Auvergne Rhône-Alpes réaffirme son opposition à l’exploration ou l’exploitation des gaz de schiste », présenté par les groupes d’opposition du Conseil Régional a été adopté le 17 mars en Auvergne-Rhône Alpes, l’exécutif se prononçant alors pour l’abrogation du permis de Montélimar, et ceux de Blyes, des Moussières et du Pays de Gex2. Bravo !

  • Nous attendons toujours la réaction de l’État !

  • Une réunion nationale des collectifs est prévu les 2 et 3 avril pour se concerter sur les suites à donner.

La vigilance s’impose toujours !
  • Il ne faudrait pas croire que TOTAL et consorts ont été touchés par la grâce suite à la Conférence Environnementale de Paris. C’est toujours le souci du profit qui prime.

  • La preuve : ils organisent du 5 au 7 avril à Pau (64) le sommet MCE Deepwater Development3 qui rassemblera les décideurs stratégiques des marchés du gaz et du pétrole en eaux profondes (TOTAL, Shell, Exxon, Repsol, BP etc.). L’objectif déclaré est de « mettre les principales compagnies pétrolières et gazières opérant en mer autour de la table pour discuter du futur de cette industrie et trouver des solutions communes à la baisse des cours du pétrole et du gaz ». Il s’agira de « mettre en commun toutes les compétences permettant la réduction des coûts et l’augmentation de l’exploitation du pétrole et du gaz » …et l’augmentation des gaz à effet de serre ? Les bonnes résolutions de la COP21 s’oublient vite.

  • Ils renoncent (provisoirement) à polluer le terre avec les gaz de schiste pour mieux polluer la mer avec les forages en eau profonde ! Un appel4 non-violent à bloquer les fossoyeurs du climat et des océans est lancé par Action non-violente COP21, La Coordination des Alternatiba, Les Amis de la Terre- France, Attac-France, Bizi !, Le Village Emmaüs Lescar-Pau, Nation Ocean, et 350.org. Soutenons le.

  • Et la menace est toujours là en Suisse voisine, dans le Canton de Vaud.

Mais « tenir«  n’est pas facile !
  • Paradoxalement, cette situation de vigilance est plus difficile à assumer pour une association comme la nôtre que celle de menace imminente que nous avons connue dans nos débuts. Le rejet final du Permis des Moussières, l’apparent désintérêt (conjoncturel) des pétroliers, les déclarations lénifiantes du Gouvernement nous incitent à oublier la question des gaz de schiste pour se préoccuper du climat en général, des accords de libre-échange, de l’état d’urgence ou du code du travail (et j’en oublie…). Mais les pétroliers eux restent en en embuscade et ne lâchent rien !

  • Le Conseil d’Administration que vous avez élu début 2015 a assuré la veille, mais il a besoin de renouvellement, plusieurs membres ayant annoncé leur départ après notre assemblé générale prochaine. Nous avons besoin de sang neuf.

Une Assemblée Générale pour résister
  • Nous devons définir ensemble :

    • comment rester vigilants ?

    • avec quelle organisation ?

    • avec qui aux commandes ?

  • Ce sera donc l’enjeu de cette

Assemblée Générale le 9 avril 2016 à 14h

Salle des Eaux et Forêts, 113 Bd du Fier à Annecy

Venez nombreux et n’oubliez pas d’adhérer à votre collectif pour 2016 par courrier ou sur http://collectif.ngds74.info/

(!) Info minute – Revue de Presse

Les collectifs des cinq départements impactés par le permis de Montélimar (Ardèche, Drome, Gard,Stop_Gaz_de_shiste-PERH-Montelimar Vaucluse, Hérault) se sont réunis ce samedi 16 janvier 2016.

Rassemblement dimanche 28 février à Barjac

Ils invitent la population et les élus à se mobiliser le dimanche 28 février 2016 à Barjac (Gard) face au risque de ré-attribution du permis détenu par TOTAL (lire ici et).

Exigeons l’arrêt définitif de la recherche de gaz de schiste

Ce rassemblement sera l’occasion de rappeler au gouvernement notre exigence de rejeter toute ré-attribution de ce permis.

De même, nous exigeons du gouvernement qu’il interdise définitivement toute exploration et exploitation de gaz et pétrole de schiste et autres hydrocarbures non conventionnels.

Ceci conformément aux engagements du Président de la République lors de la COP 21 et plus récemment de la Ministre de l’Écologie à l’Assemblée Nationale (lire ici).

En savoir plus: Info sur les permis et demandes dans la région [lire ici]

stop-gaz-de-schiste-Barjac

Cette semaine en Rhône-Alpes: Agenda ici                                                                            (!) Info minute
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Communiqué de presse des collectifs de Savoie, de l’Ain et haut jura

le 29 novembre 2012.

Rencontre régionale le week-end du 15 et 16 décembre 2012 des collectifs contre l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures liquides et gazeux et marche aux flambeaux sur le site de l’ancien forage de Corcelles.

La menace d’exploration et d’exploitation d’hydrocarbures est loin d’être abandonnée. Les récentes déclarations du gouvernement sont ambigües sur ce sujet. Les lobbys pétroliers interviennent dans les médias à tour de bras pour vanter et inventer une croissance et des emplois qui n’existent même pas sur le papier !

Les arguments économiques, sociaux développés dans les média ne se fondent sur aucune réalité économique. Les emplois créés par cette industrie seront précaires, peu nombreux. Les chiffres avancés de plusieurs centaines de milliers d’emplois sont fantaisistes, la réalité (selon le rapport du CGIET et du CGEDD page 28) est de quelques centaines si l’étendue des réserves se révèle exacte. (rapport à télécharger ici )

L’indépendance énergétique grâce à l’exploitation des hydrocarbures de roche mère est un leurre. Le pétrole et le gaz prélevés alimenteront le marché mondial et seront revendus au cours mondial des hydrocarbures sur la base du baril de brut qui est en augmentation constante.

La recherche d’autres techniques pour extraire le gaz de schiste et remplacer la fracturation hydraulique ne rend pas très crédible la volonté du gouvernement d’une transition énergétique basée sur les énergies renouvelables. Une éventuelle compétitivité de l’industrie basée sur les hydrocarbures ne se fera que sur le très court terme.

Les forages en grande profondeur pour lesquels des autorisations ont été récemment délivrées dans le bassin parisien nous font craindre les permis des Moussières et de Gex. Notre sous-sol karstique est un véritable gruyère fait de multiples interconnexions de sources souterraines et la pollution de la source de la Moullaz par les forages de Lantenay en 1990 en est la preuve malheureusement encore aujourd’hui.

La pollution de l’eau par les forages entraine ipso facto un péril financier pour les villages: les communes d’Outiaz et de Vieu d’Izenave, après la détérioration de la source qui les alimentait en eau ont dû s’endetter pour se raccorder à un autre réseau d’eau potable. Or l’actuel code minier n’encadre absolument pas la responsabilité des concessionnaires d’exploitation d’hydrocarbures à long terme.

Le permis des « Moussières » est renouvelable en mars 2013: sa prorogation serait une catastrophe annoncée pour l’eau, l’environnement, l’agriculture, les nombreuses AOC et le tourisme.

Nous exprimerons notre crainte et notre opposition aux permis d’exploration et d’exploitation, par une marche aux flambeaux sur le site de la plate-forme pétrolière de Corcelles (plateau d’Hauteville-Lompnès ) le 15 décembre 2012 à 17h.

Programme du 15 et 16 décembre :

Le samedi 15 décembre 2012: journée d’information « juridique » ouverte à tou-te-s. A tous ceux toutes celles qui souhaitent en savoir plus sur les aspects (parfois un peu complexes) du droit régissant ces permis de recherche exclusifsforage corcelles d’hydrocarbures (PERH).

17 h : Marche aux flambeaux sur le plateau d’Hauteville. Rassemblement à Corcelles, sur le parking fléché (route de Champdor, face au GAEC de la croix blanche). Cortège aux flambeaux jusqu’au village. Retour sur le site de l’ancienne plate-forme pétrolière où une surprise attend les participants.

Le dimanche 16 décembre 2012: journée de formation VIA

Les collectifs du Haut-Bugey, Bresse Revermont, Haute Savoie, Savoie, Bugey Sud, Gex, Valromey, Jura, val des Usses, Blye, Savoie, 38 et 69.

Collectif Non au gaz de schiste Pays de Savoie et de l’Ain

47, Route de Reignier 74800 ARENTHON

à Monsieur Jean Jack Queyranne

Président de la Région Rhône-Alpes

Arenthon le 13/09/2012

Monsieur le Président,

Nous apprenons avec plaisir que vous avez été désigné par le Gouvernement comme membre du Collège des élus dans la table ronde pour « préparer le débat national sur la transition énergétique » dans le cadre de la Conférence environnementale.

Nous ne doutons pas que les prises de position de la Région en matière de politique énergétique, et tout particulièrement son opposition claire à toute exploitation de gaz et pétroles de schiste, aient été déterminantes dans cette désignation.

C’est pourquoi les Collectifs qui luttent contre l’exploration et l’exploitation des gaz de schiste dans notre Région comptent sur vous pour affirmer clairement l’opposition déterminée des citoyens de Rhône-Alpes et défendre leurs exigences :

  • Interdiction de la recherche et de l’exploitation de tous les hydrocarbures non conventionnels, quelle que soit la technique envisagée,
  • Mise à jour du Code minier, incluant une consultation obligatoire et contraignante des populations concernées par tous les projets miniers,
  • Moratoire sur tous les permis accordés à ce jour et leur réexamen dans le cadre du Code minier ainsi aménagé.

Par ailleurs, nous vous demandons d’être notre porte-parole pour exiger que le débat national sur la transition énergétique ne se résume pas à des tables rondes entre élus, professionnels et associations. Ce débat, dont nous attendons qu’il débouche sur une nouvelle politique énergétique basée sur la sobriété, l’efficacité et les énergies renouvelables, doit être porté devant tous les citoyens qui doivent recevoir une information pluraliste pour pouvoir y participer activement, et faire l’objet in fine d’une authentique consultation populaire.

Nous espérons pouvoir annoncer à nos militants lors du rassemblement prévu à Aix-les Bains le 22 septembre à l’occasion de la Journée Mondiale contre la fracturation hydraulique et les gaz de schiste que vous avez su défendre avec succès leurs demandes.

Dans cette attente nous vous prions de croire, Monsieur le Président, au soutien vigilant des citoyens de la Région Rhône-Alpes dans cette lutte.

Pour le Collectif, son Coprésident

Jacques Cambon,

Cette semaine en Rhône-Alpes: Agenda ici              SIGNEZ  LA PETITION !                 ( ! ) Info minute
Haute Savoie: Grande mobilisation à Saint Julien en Genevois le 11 février

Dans le cadre d’une interview accordée au journal Le Progrès et publiée ce jour, M. Neil McNaughton consultant pour la société Celtique énergie tente de décrédibiliser l’action des citoyens et élus membres du collectif Collectif Haut-Bugey non aux forages d’hydrocarbures.

Rappelons que cette société britannique est titulaire d’un permis exclusif de recherche d’hydrocarbures liquide ou gazeux accordé par l’administration en 2008 sans que la population ni les élus locaux n’aient été consultés. C’est une  des raisons -ce n’est pas la seule- de la mobilisation citoyenne. Ce permis intitulé Permis des Moussières accorde la possibilité au titulaire d’effectuer des recherches dans une zone couvrant les départements du Jura et de l’Ain. Celtique envisage de reprendre les recherches déjà effectuées par Esso Rep il y a plus de deux décennies sur le plateau d’Hauteville et précisément sur les communes de Lantenay et de Corcelles. Sur place « La Chandelière 1 » et « la Chandelière 2″ on s’en souvient. Après des forages exploratoires, les pétroliers avaient rebouché: trop cher! On passe trop souvent sous silence le fait qu’un des forages avait entrainé la pollution d’une source et son inutilisation définitive forçant la communauté à raccorder les usagers de la commune au réseau de distribution de l' »eau du Rhône ».

Le consultant de Celtique prétend que le collectif du Haut-Bugey fait de la désinformation en assimilant les projets envisagés par la Société Celtique à la recherche de gaz de schiste. Or il n’en est rien. Habitants et élus savent lire les quelques rares dossiers qu’il a été difficile d’obtenir. Ils savent que le titulaire du permis envisage de faire un forage oblique en grande profondeur pour explorer la disponibilité d’hydrocarbure dans la roche cible (grés de Bunt). Il savent également que les forages nécessitent de grandes ressources en eau. Ils savent que le titulaire du permis envisage de « sous traiter » le retraitement des boues de forage sans donner aucune indication sur les modalités envisagées. Ils savent que la collectivité aura à prendre en charge l’entretien des routes après le passage de nombreux camions si une telle entreprise est effectivement mise en œuvre. Ils savent que l’évacuation d’hydrocarbures nécessite de gros chantiers qui auront un impact durable sur l’environnement et le paysage. Ils ont la mémoire de la source qui a été polluée et rendue définitivement inutilisable.

Les pétroliers parlent de « création d’emploi » et de « recettes pour les collectivités locales ».  Ils ne veulent qu’acheter le silence et profiter de la fragilité financière des collectivités pour les attirer dans un piège aux conséquences durables. Le code minier, la réglementation française sont ainsi faits que le titulaire d’un permis lorsqu’il se retire n’aura pas à supporter les conséquences des possibles accidents et pollutions sur l’environnement. Et ces conséquences ne sont pas toujours mesurables lors de l’exploitation mais bien des années après.

La recherche de solutions énergétiques dans la durée ne consiste pas à pomper les maigres réserves du sous-sol. Les investissements pour la recherche en matière d’énergie doivent être dirigés vers des solutions durables et renouvelables.

Le gouvernement, les pétroliers veulent nous enfermer dans l' »histoire des gaz de schiste« . Ils se veulent rassurant en rappelant que la fracturation hydraulique est interdite en France et que « les permis » ont été abrogés. Seuls trois permis l’ont été. Une commission de suivi de la mise en œuvre de la loi qui permet la recherche sur la fracturation hydraulique doit être nommée dans les jours qui viennent.  Le mouvement d’opposition citoyenne qui a émergé sur de nombreux territoires depuis un an est vivant en hiver comme au printemps.

C’est pourquoi nous serons nombreux à Saint-Julien en Genevois le 11 février pour dire « non au gaz de schiste« , « non au pétrole de schiste« , « non aux forages d’hydrocarbures » , « non à l’exploitation de nos ressources en eau de manière inconsidérée« !

Jeudi soir 22 septembre 201! Gasland au Cinéma Comoedia Lyon suivi d'un débat  info ici

                                 ( ! ) Info minute ici

  M. Fillon refuse de répondre à la demande de retrait des permis d’exploration du « gaz de  schiste »,  vers un recours  devant le Conseil d’État ?

Communiqué de presse
Lyon, le 14 septembre 2011

            Alors même que les pétroliers ont annoncé il y a quelques mois que la seule méthode connue pour effectuer recherches et exploitation du gaz était celle de la fracturation hydraulique, ils confirment au moment de rendre leur rapport au gouvernement qu’ils seront en mesure de faire une exploitation « propre », grâce à une méthode « acceptable ».

             Nous affirmons par ailleurs que la loi promulguée le 14 juillet ne règle en rien la question des « gaz de schiste », c’est une loi en trompe-l’œil, cherchant, par la voie législative, à dédouaner le gouvernement de sa responsabilité. Le dépôt d’une nouvelle proposition de loi à l’automne en est une preuve mais renvoie de nouveau à la représentation nationale la responsabilité de trancher cette question.

             Le code minier prévoit que ce que l’administration fait elle peut le défaire si les conditions ne lui semblent pas réunies, appliquant ainsi une forme de « principe de précaution ». Or, dans le cas présent les plus vives inquiétudes concernant la santé de la population, la protection des  ressources en eau et la préservation de l’environnement persistent.

             A l’initiative de Muriel Bodin, avocate spécialisée en droit public et droit de l’environnement membre du collectif 69 « Stop au gaz de schiste », une lettre demandant le retrait des permis Borloo a été adressée au premier Ministre François Fillon le 14 juillet. L’envoi de cette lettre ouvrait un délai de deux mois pour obtenir une réponse du premier ministre et, le cas échéant, engager un recours devant le Conseil d’État.

            Cette lettre a été envoyée accompagnée des 100 premières signatures de citoyens engagés contre ces permis. Depuis plus de 5500 citoyens ont soutenu cette action inquiets des conséquences sanitaires et environnementales de ce « nouvel eldorado qui rend dingo » (Cf. Le Canard Enchaîné).

             Nous prenons ce jour acte de l’absence de réponse du gouvernement et allons maintenant concerter les collectifs et les citoyens qui soutiennent cette action afin de décider si nous formons recours devant le Conseil d’État.

             Nous vous tiendrons informé de la suite de notre démarche le jeudi 22 septembre 2011 à 19h au cinéma le Comoedia à Lyon à l’occasion d’une projection du film « Gasland » et d’un débat public organisé par le collectif 69.

 Références

La pétition et le texte de la lettre : http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/presentation.php?id=342

Le site du collectif 69 et Rhône-Alpes nord : https://nonaugazdeschistelyon.wordpress.com/